Monday, March 19, 2007

la fin du slacking chez supernat' ?

merde, c'est trop la honte. quatre mois sans updates.
ce ne sont pas quatre mois chomés, loin de là. oreo les a mis à profit pour faire de Rated rookies la marque la plus cool de la belle province. rookies of the year. rzk s'est concentré sur le party promoting, et a transformé montpelier en capitale du clubbing de bon goût, ses podfights au succès grandissant en témoignent. et pour ma part, je dois avouer que fahrenheitprod. a pris le dessus. pas une excuse. mais voilà, ainsi va la vie.

la où vraiment c'est la honte, c'est que le poste que vous allez lire a été commencé en novembre dernier. ouch. mea culpa, mais quand même.

mais recentrons le débat.

depuis plusieurs années, je suis étonné par l'ampleur que prend le "streetwear" (vu qu'il faut lui donner un nom) et plus particulièrement, par un terme bien précis qui lui est acollé.

tous les hype blogs de la planète se réfèrent maintenant au street wear (et à ses à-côtés, issus du graffiti, du hip hop et surtout du skate) par le terme de "culture". en bon geek, j'ai envie de dire : "WTF?"

depuis quand porter de baskets et un t-shirt est recevable comme une culture à part entière ? et comment introduire cette "culture" à des néophites ?

après y avoir songé un peu, et malgrès ma réticence à utiliser ce même terme, j'admet qu'il s'agit tout du moins d'un mouvement (ou du moins d'UN des aspects d'une contre culture), et il me semble que le meilleur moyen d'introduire un mouvement, une "culture", reste de parler de son histoire, de ses faits marquants.

mais à quoi peut-on réduire le streetwear ? quel est le support propre à toutes ces marques, quel en est le dénominateur commun ?

je suis peut-être à côté de la plaque, mais il me semble que le t-shirt pourrait bien remplir ce rôle. le t-shirt est depuis toujours à la fois le véhicule des différentes contre-cultures et cultures depuis les années 50, porteur de messages et réaction à l'establishment.

par conséquent, il m'apparait donc pertinent de parler de l'histoire de cette "culture" en présentant ici une liste (non-exhaustive et complètement subjective) des t-shirts séminaux, de ces t-shirt que tout afficionado connais, de ceux qui ont marqué les esprits.

mais ce n'est pas à moi de vous dire quels sont ces t-shirts, et j'ai voulu avoir l'opinion de personnes qui sont, selon moi, des acteurs majeurs de ce mouvement. des personnes dont l'opinion m'importe, de personnes reconnues au sein de cette scène.

honneur aux dames, bien entendu, et voici donc (en substance) ce que Gabriella, fondatrice de Mama Clothing, marque basée à San Francisco, et dont la spécificité est avant tout d'être principalement pensée pour les femmes :

"i would have to say for me, the seminal t-shirt would be the plain white tee ala marlon brando and james dean. and of course, there's fonzie with the cigarette pack rolled in the sleeve."

si vous jetez un coup d'oeil aux réalisations de Mama (et de One Hit Wonder, son pendant masculin), cette filiation est plus qu'évidente. mais jetez-y un coup d'oeil par vous mêmes.

la deuxième personne vers laquelle je me suis tourné fait aussi partie des personnes qui ont façonné ce qu'est le streetwear de nos jours à travers plusieurs de ses aventures. fondateur de l'excellentissime (et séminal, justement) web-magazine Evil Monito (une nouvelle issue devrait voir le jour sous peu), co-fondateur du studio The Social Trust, brand consultant pour hudson jeans, riottt, et cerveau derrière le passionant mrkimsays.com, j'ai nommé, Monsieur Ricky Kim :

"Streetwear is a not a culture. Streetwear is an industry and a set of clothing people who are attuned to street culture wear. I think Street Culture is a culture and an institution in itself. (I'm) not too sure (what values, references are shared by the streetwear community). I’m not the ambassador of this community or group. It’s a group of people who enjoy the movement of music, art, and design that relates to street. (As for seminal t-shirts,) Stussy for sure for the cultural impact, tee-shirt companies these days are for the most part purely capitalistic ventures."


Mon troisième "interviewee" est le rédacteur principal d'un des seuls hype blogs valables (avec bien entendu l'excellentissime Guillotine que je ne saurais trop vous recommander pour sa couverture exhaustive, intelligente ET en français), High Snobiety. Voici ce que David pense de tout cela :

"nice idea you got there. My favorite tee's:
- aNYthing logo tee


- supreme box logo

Thats about it! Its just tee's in the end! "

le dernier de mes experts, fait partie de cette jeune génération, hyper connectée, au fait de toutes les avancées technologiques, passionnée de tout, l'entrepreneur v2.0. depuis quelques années son site documentant tous les aspects de sa vie a fait de lui le design student le plus connu de la blogosphère (plus pour longtemps, il graduate cette année) : Heron Preston. suivez ce jeune homme de très près, il va probablement avoir une influence non négligeable sur votre vie prochainement (pour peu que votre vie soit touchée par le design, la mode, l'interweb, la pub...) :

"hmm. top 5 tshirts. - the only thing is that i do not have photos of any of these tshirts.. you might be able to find them online? desole. 1. the japanese company NEXUS 7 - they made this mr. t which was just a silhouette of his face. i was attached to this shirt because it was my first introduction to high quality street wear tshirts. i also liked the way it faded and broke in once i washed it. kept its shapes after 100 washes!!
pas d'image :(
2. the diplomats tshirt by REASON Nyc - its fairly new, but when it came out, people went crazy. i still wear mine to this day.

3. stakes are high RED5 tshirt with the gold leaf print. (redfiveonline.com) - OG art, film, street lifestyle store in san francisco that closed down about 3-5 years ago.

4. supreme NWA tshirt.

5. clarendon gold leaf print CLARENDON tshirt with salmon color body. (http://www.clarendonclothing.com/)"

pour ma part (des fois que mon opinion ait un quelconque intérêt), je pense que Stussy (Knowledge is King & 8 Ball tees), Supreme (box logo tee), et dans une certaine mesure Bape (college logo camo tee) ont grandement contribué à ce qu'est le streetwear aujourd'hui.

et vous ?

Sunday, September 17, 2006

Non, ça n'est pas si sérieux...

Je ne sais pas si vous avez la même impression que moi, mais depuis quelques temps, ce qui a été baptisé "street wear" faute de meilleure définition (si tant est qu'il est besoins de nommer et définir ce "mouvement") se prend de plus en plus au sérieux.


Rien de bien étonnant, je l'admet, il est question d'argent pour beaucoup de monde (parfois même de beaucoup d'argent), et (malheureusement) les chiffres n'ont que très peu d'humour lorsqu'ils sont précédés d'un $ ou d'un €.

En effet, depuis quelques temps, le marché de niche que constituait le "street wear" se trouve de plus en plus régulièrement sur le devant de la scène, et l'adoption de beaucoup de marques par de nombreuses célébrités (Beyoncé porte du Hellz Bellz et Jay-Z du Crooks & Castles), la couverture médiatique dont ont bénéficié certaines marques (The Brand Underground dans le New York Times), ne font qu'aider la transition vers un marché de masse.

Il est évident que l'Internet a joué, et joue encore, un rôle prépondérant dans cela, et a contribué à transformer et élargir le public de toutes ces marques.

Pas que je veuille jouer aux OG, à l'early adopter, au vieux con (je ne suis pas si VIEUX que ça :), mais tout de même, je me souviens d'une époque où dénicher du Stüssy en France (et oui, même à Paris) relevait du parcours du combattant, et porter du Bape était nécéssairement le résultat d'un voyage au Japon et n'était remarqué que par quelques happy fews. Il était alors question de statut (c'est bien entendu toujours le cas), certes, mais cela n'impliquait en rien de se prendre vraiment au sérieux. Et l'aspect de chasse que cela pouvait prendre ne faisait qu'ajouter au jeu.

La popularisation de l'internet, couplée à l'évolution de la consommation, a, par conséquent, rendu accessible à tous (ou presque) l'accès à ces marques qui faisaient partie d'un "underground". Cela a dans le même temps eu pour effet l'apparition de sites d'information et autres blogues (tels que celui-ci ne nous en cachons pas) relayant à tout bout de champs et de manière exponentielle la moindre information de ce "mouvement", de cette "culture". Cela n'est pas un mal en soit, au contraire, je suis ravi d'avoir accès à ces informations et de pouvoir consommer des produits qui ne sont pas accessibles par des moyens traditionnels en France. Je ne fait jusqu'à présent que constater ces changements et les mettre en évidence. Ils ne sont pas un mal en soit, bien au contraire.

Toutefois, comme tout autre phénomène, cette hémorragie d'informations a ces inconvénients que je tiens à souligner ici par quelques exemples. Et en particulier, elle tend à retirer le caractère ludique et complètement superficiel que tout ceci devrait avoir. Selon moi en tous cas.

Ces blogues qui prolifèrent (à commencer par celui-ci, j'en suis conscient) ont malheureusement tendance à prendre tout entrefilet comme argent comptant et ne se soucient que peu de vérifier leurs sources ou tout du moins de souligner qu'il ne pourrait s'agir que de rumeurs. Et surtout, ils prennent tout ceci (pour la plupart) bien trop au sérieux.

J'en veux pour exemple ce que j'appelerais l'évênement "What Up, Money?".

Il y a quelques semaines, la crème des créateur de "street wear" (et les autres) se sont réunis à l'occasion du Magic Trade Show de Las Vegas, salon bisannuel du prêt-à-porter mondial. A cette occasion, Barnzley (qui mériterait un article à lui tout seul, étant donnés son implication et son influence dans l'histoire de ce milieu), relevait avec humour dans un post sur son blogue chez SlamxHype la nouvelle expression à la mode dans les allées du salon : "What up, money?"
Alliant cela aux tendances récentes du "street wear" (casquette fitted et hoodies en imprimés all over), House33 (dont Barnzley est un des créateurs), annonçait la sortie d'une nouvelle ligne intitulée "What Up, Money?"


On notera le sarcastique "Ha." qui clôt l'annonce sur leur site.

Ce qui a attiré mon attention dans ceci n'est pas l'à-propos de cette critique de l'état actuel du "street wear", mais plutôt la façon dont cette information fut relayée par la suite sur les différents blogues à travers le monde.

Je ne décèle pas une once de second degrès dans les posts trouvés sur Hype Beast ou SlamxHype (on notera tout de même que High Snobiety,qui me parait beaucoup plus pointilleux et regardant par rapport à ce qu'il publie, n'a pas, si je me souviens bien, abordé ce sujet).

Et ça me gène un petit peu. Tout le monde ou presque a pris ça très au sérieux.

Et c'est un peu cela qui me dérange dans l'état actuel des choses : tout le monde blogue comme s'il s'agissait de sauver le monde, tout le monde relaie sans discernement le moindre embryon d'information, et tout le monde encense les marques sans le moindre atome de critique ou de recul. Mis à part la courte expérience du blogue Don't Believe The Hype Beast, et l'intervention salutaire (et sporadique) des gardiens du temple, personne ne se permet vraiment de critiquer par peur de passer pour un hater.

Je suis d'accord pour dire que la scène du "street wear" est un peu petite pour laisser les gens critiquer à tout va, mais je tiens en horreur la pensée unique, et je suis donc légèremment ennuyé de constater cet état de fait. Et c'est pourquoi j'ai eu envie de parler de cela pour lancer la seconde saison de Super Natural Drink.

Pour ne pas finir sur une note trop négative (et vous donner quand même quelques images), j'ai quand même envie de parler de la dernière annonce d'Alife (dont est tirées la photos d'au-dessus), qui date d'une petite semaine.
Il s'agit d'une mini-collection spéciale Halloween et inspirée de la créature du Dr. Frankenstein et de la Malédiction de la Momie. Deux t-shirts, deux casquettes (hilarantes) et un slogan fort à propos : "It ain't that serious".





Nul doute que ces casquettes seront arborées avec sérieux par certains addicts, mais je suis content que l'aspect ludique de tout cela nous soit rappelé par une institution (et je pèse mes mots) telle qu'Alife.

Tuesday, April 18, 2006

BrownBaggie$

Vous vous souvenez de BB$, les Brown Babie$ ?
Nos copine de LA qui font des fringues pour fille cool et qui ont LE blogue le plus cool de ce blogue jeu.


Elles ont depuis peu inauguré une série de posts nous révélant ce qui, nous, les hommes, nous fascine autant que de savoir ce qu'il y a sous les jupes de filles : QU'Y A-T-IL DANS LES SACS A MAIN DES FILLES ?


Pour vous faciliter le travail, voici la liste de posts concernés :
de$ & nat
a$h
lax
bri

Thanks, gurlz, THAT is blogging.

Source: BB$

Friday, March 24, 2006

MIKE23

Ouh la hooooonte, pas de posts depuis plus d'un mois !
Et oui. C'est nul.

Mais laissez moi prendre un peu de temps pour vous parler d'une plus ou moins pitite marque qui a fait pas mal parler d'elle ces quelques derniers mois :


Oui, la typo vous rappele quelque chose. Et oui la silhouette de basketballer aussi. Mais ce motif en fond ne vous est pas inconnu,non plus, je me trompe ?

Et oui, MIKE23 (tiens donc ce nombre me semble familier) est une marque en hommage à l'un des plus grands sportifs de tous les temps : Michael Jordan (j'avais vraiment besoins de ce lien wikipedia ?). Tout bonnement.

MIKE23 base la plupart de se modèles sur le fameux Elephant Print (ou Cement Print selon les écoles) de la Jordan IIIème du nom. Souvenez-vous :

Ainsi donc, MIKE23, VENERE Michael Jordan. La première fois que j'ai entendu parler de MIKE23 c'était lors du lancement de la chaussure MIKE23 : une basket basée sur la Converse Chuck Taylor low (aussi connue sous le nom de All Star), remaniée avec un motif Elephant Print et le logo NIKE détourné en hommage au basketteur qui nous a fait le plus rêver :


Oui je sais, les Chuck Taylor c'est moche. TRES moche (n'en déplaise aux fans de jeans Diesel et de t-shirts Von Dutch). Et si MIKE23 s'en était tenu à ça, je n'en aurait probablement jamais parlé (sauf pitete pour vous informer). Mais en l'occurence, MIKE23 est allé un peu plus loin que ça. Heureusement. Toute un collection commence à s'ébaucher dont voici un extrait :



voici pour les premiers modèles, vous en verrez plus sur mike23.com.

Mais passons maintenant aux choses qui m'ont VRAIMENT donné envie de parler de MIKE.
Tout d'abord, en début de semaine, un sweat capuche (aussi appelé hoody pour ceux qui parlent anglais et/ou hype). Impression Elephant Print "all over", différents colorways, et joli petit détail d'impression en bas du dos :


Là, j'ai envie d'en parler.

Dernière petite info (et vraiment pas des moindres), l'annonce a été faite d'une New Era 59Fifty Fitted MIKE23 (toujours avec l'Elephant Print en all over - en a-t-jamais assez ?) :



Pas de dates de sortie pour la New Era, le hoody était censé être mis en vente cette semaine sur le site MIKE, mais à l'heure actuelle pas de nouvelle.

Pour ce qui est de l'ancienne collection, quelques points de vente sur Paris (et peut-être ailleurs en France), et comme la France est toujours un peu en retard, on trouve encore les produits qui partout ailleurs sont épuisés (dont les deux t-shirts "monojam").


Sources : Freshness Mag, MIKE23

Tuesday, February 07, 2006

Nouvelle collection +41

+41 est une marque suisse fondée par des anciens élèves de l'ECAL.

La nouvelle collection est depuis peu visionnable sur leur site.

Moi j'aime beaucoup.

A noter qu'une collaboration avec Etnies+ vient elle aussi d'être annoncée :



C'est classe, non ?

En parlant de classe, +41 a aussi collaboré avec Big Game pour une reflexion sur le luxe, reposant sur le détournement d'objets communs : New Rich.



Sources: +41, Hype Beast

Friday, January 27, 2006

NIKEid am1, am90, am180

A l'occasion du lancement de la Air Max 360 (me dites pas que vous aviez pas remarqué la campagne démesurée sur le sujet), NIKE lance tout une rétrospéctive du système Air Max "over the years".

Toutes les Air Max sont rééditées dans les colorways originaux ainsi que dans des colorway inédits et pour certains très limités :


MAIS

NIKE a aussi pensé à NIKEid dans tout ça, et la rétrospéctive Air Max va aussi avoir lieux pour NIKEid.
Les trois premières (1, 90 et 180 sont déjà disponibles et customisables (avec quelques couleurs sympatoches dont de l'argent), et les autres suvront.


Les colorways ci-dessus sont proposés par fahrenheitprod.

Source : NIKEid

Thursday, January 19, 2006

Flying Fortress x Stüssy


The Flying Fortress s'est illustré dernièrement au Lazy Dog, à Paris, avec son expo Visual Rock Stars (en collaboration avec Dave the Chimp).

Mais il vient aussi de collaborer avec Stüssy pour quatre graphismes de t-shirts bien classieux :


Disponibles sur Stüssy Direct.

Source : Stüssy Direct

Tuesday, January 17, 2006

Help Johnny Cupcakes



Johnny Cupcakes est un petit label basé dans le Massachussets et qui sort des fringues cools basée sur l'imagerie du cupcake.

Une jolie petite collection donc, avec quelques petites trouvailles graphiques intelligentes.

Il y a peu (la saison dernière), Johnny a envoyé des samples de ses créations à une grande chaîne de magasins "pour jeunes" américaine, puis, après mûre réflexion a décidé que, non, décidemment il ne serait pas distribué par ces magasins qui ne lui correspondent pas du tout. Il n'a jamais pu récupérer les samples. En soi, cela n'est pas extrêment grave, et passe dans les pertes et profits, mais le problème est un peu plus grave que celui-là.

La grande chaîne de magasins a, depuis, sorti un t-shirt sous sa propre marque reprenant le motif de Johnny :



Une action judiciaire est en question, mais il semblerait qu'au regard de la loi américaine, le design soit suffisamment modifié pour être légal.

Donc, si vous avez l'occasion de passer par les USA, pensez plutôt à acheter l'original et à éviter les contrefaçons. Tant qu'à faire, évitez même les contrefaiseurs totalement...

Source : Johnny Cupcakes

Monday, January 16, 2006

Weekly Drop


léger entrefilet pour soutenir le podcast Weekly Drop par Rob Heppler et Jeff Carvalho.

Il s'agit du premier podcast sur la street culture (en tous cas le premier que je connaisse).

Chaque épisode présente un nouvel invité.
Après Gabriel Urist, le sneaker jeweller des stars, la semaine dernière, cette semaine l'invité n'est autre que Dave White, le peintre des baskets.



Les sujets traités sont pointus et (relativement) variés. Personnellement je ne suis pas un fan inconditionnel, mais je suis content de pouvoir soutenir une belle initiative.

Pour anglophones exclusivement.

Sources : Weekly Drop

Thursday, December 15, 2005

Walife


On ne présente plus ni l'un ni l'autre, le Wu Tang Clan s'est associé à Alife pour sortir une série de T-shirts et de Hoodies. C'est à la fois sobre et bling-bling, c'est en tous cas très efficace et ça partira comme des petits pains.

Rapide extrait de la collection :



Sources : Alife & 5D